Après la fermeture de la librairie-papeterie Rigal, les chartrain.e.s qui aiment les beaux instruments d’écriture devront se rendre à Orléans ou prendre le train jusqu’à Paris. Les autres pourront toujours trouver des Bics quatre couleurs à Monoprix.
Quoi qu’il en soit, le fait qu’il ne se soit trouvé personne pour reprendre l’enseigne en dit long sur l’attractivité de la ville de Chartres dirigée par M. Gorges.
Si le but de ce dernier est de la ravaler au rang de Gonesse, c’est en bonne voie …