Un jour de canicule sur le parvis de la gare. Les Chartrains et touristes fuient cet espace inhospitalier, fournaise sans vie… Une conception répulsive, froide en hiver, brûlante en été, minéralisée à l’extrême !
Un coût monstre pour ce parvis standardisé. Une honte pour les habitants qui se pressent de le traverser comme l’on traverse un désert.