SportExpress : souvenirs, souvenirs...

Dix ans après, le rugby français n’a pas oublié cette finale perdue à Auckland. Et 45 ans après, que sont devenus les Verts… A part ça, les abrutis continuent d’empoisonner les stades de L1. L’actualité sportive vue au delà du simple résultat.

Dix ans après. C’était un 23 octobre. Au bout du monde, à Auckland, au royaume du rugby, dans l’antre de l’Eden Park, les Bleus de Thierry Dusautoir s’inclinaient d’un tout petit point (8-7) face aux All Blacks. Jamais l’équipe de France n’avait été si près du titre suprême après avoir déjà échoué en 1987 face à ces même Néo-Zélandais et en 1999 devant l’Australie. Ce 23 octobre, les Bleus de Marc Lièvremont avait fait jeu égal avec les « Blacks ». Ils les avaient même défié en formant un V (de la victoire) face au traditionnel Haka. Le 20 novembre prochain, les troupes de Fabien Galthié recevront en test-match le quinze des hommes en noir. Ils ne sera pas question de revanche, mais bien de s’étalonner face à ces All Blacks qui, vexés d’avoir été battus par les Springboks d’Afrique du Sud, viennent de dynamiter 104-14 les Etats-Unis. Mais quand même, un succès des Bleus serait de bon augure à deux ans du Mondial en France qui débutera d’ailleurs par un… France-Nouvelle Zélande !

Légende. Il vient de rentrer dans la légende du sport français. A 22 ans, Fabio Quartararo, déjà vanté comme prodige dès son plus jeune âge et ses premières mini motos, a été sacré champion du monde dans la catégorie reine des grands prix moto. « A jamais le premier », a titré L’Equipe dans sa Une de ce lundi. Le jeune niçois rejoint dans le grand livre des sports mécaniques en circuit Alain Prost, seul champion du monde de Formule 1. A jamais dans l’Histoire…

Abrutis (encore et toujours). Dernier de Ligue 1 avec zéro victoire, Saint-Etienne. Mais où sont passés les Verts dont il ne nous reste que les souvenirs de l’épopée des années 70 ? Le club est à vendre mais les investisseurs ne se bousculent plus trop. En attendant, les supporteurs continuent de réclamer la démission des dirigeants propriétaires et de l’entraîneur.On peut éventuellement les comprendre, mais ce n’est pas une raison pour craquer des fumigènes et brûler les filets des buts. Et mieux encore, ils avaient décidé de boycotter les encouragements. A propos de supporteurs, mention spéciale aux irréductibles abrutis de Marseille qui ont balancé divers projectiles sur les points de corners des Parisiens. Peut-être ignoraient-ils que l’OM étant sous le coup d’un point de pénalité avec sursis. C’est donc ça les supporters…

Bis repetita ? Au départ, Tokyo avait décidé d’interdire les spectateurs venus de l’étranger aux Jeux olympiques de l’été dernier. Et puis face à une nouvelle vague de l’ épidémie, les compétitions se déroulèrent sans public. Pékin prendre t-il la même décision en février prochain pour ses Jeux d’hiver ? On peut l’imaginer la Chine étant de nouveau confrontée à une reprise de l’épidémie et ayant décidé de nouvelles mesures de confinement. Bis repetita…

(sources : L’Equipe, Le Parisien/Aujourd’hui, sites internet)

JHD