Quand la jalousie blesse...
Voici un "grand texte" qui révèle un tellement petit personnage public.
Pour mieux comprendre l’objet de ce courrier, plantons le décor : en octobre dernier, lors de l’inauguration des Artisanales de Chartres, salon national dédié aux artisanats sous de multiples formes, le président de l’agglomération-maire de Chartres et administrateur de nombreuses entités paracommunales et paraintercommunales, s’est enfui au moment où il a aperçu un autre élu local, membre du gouvernement depuis quelque mois.
Le ci-devant président de l’agglomération chartraine trempe sa plume pleine de fiel, pour montrer qu’il existe, pour tenter d’atteindre son "concurrent local" - ex-maire de Cloyes, tête de liste départementale aux élections régionales, chef des députés centristes, et désormais secrétaire d’État aux territoires ultramarins, Philippe Vigier - plus "récompensé" que lui dans les postes nationaux.
Ah oui, c’est sans doute un échec dans son cursus de politicard local, que ne pas avoir été appelé par le pouvoir exécutif national à une fonction digne de son rang. Car rien ne doit lui résister. Il n’y a pas si longtemps (2016-2017), il avait ambitionné de se présenter à l'élection présidentielle. Faute de signatures, ce funeste projet s’est auto-détruit.
Revenons à ce texte d’une incommensurable prétention.
Qu’a-t-il contre le métier de charcutier ? Une hostilité de classe, une de plus ? Pas moins de trois allusions à ce métier qui serait donc moins gratifiant que celui de maire de Chartres ? Sarcasme ? Mépris ? Lui, le petit-fils de boulanger, dit-il à qui veut l'entendre, qui voulait même créer un musée dédié à ce métier dans l’ancienne prison chartraine, simplement pour faire causer.
Cette suffisance, outrecuidance, n’ayons pas peur des "mots qui ronflent", comme ceux contenus dans cette lettre, est caractéristique du bonhomme. Un ego surdimensionné, une prétention olympique et un toupet, une mauvaise foi, qui renverseraient des montagnes. Mais peut-être a-t-il été aidé par la fameuse "intelligence" artificielle, dont il se fait le virulent défenseur...
Nous vous laissons profiter de ces lignes qui, si elles n’étaient que fiction, pourraient faire sourire. Chartraines, Chartrains, mobilisons-nous et hop-là, assainissons l’atmosphère et changeons d’air.
La rédaction